Nager à la surface du sensible.
A lui, cloîtré dans sa cage.
Plongé dans le noir, sage comme une image,
il imagine des mondes ailleurs où il pourrait être libre et sauvage.
Quand je pense à lui, cet autre moi que je suis parfois,
Je touche la surface de sa peau sensible,
Et je lui murmure en silence que là où je vis la lumière flamboie.
Il me sourie et comprend alors que tout est possible.
Lylian.